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Sauvez Wally, le baleineau gris !

#Wally est un baleineau gris laissé à l’agonie en Méditerranée. Les baleines grises vivent dans le Pacifique, où, depuis trois ans, une hécatombe inexpliquée est observée : un quart de la population est décimée et la surmortalité s’accélère. Le manque de nourriture est une hypothèse avancée.

Des baleines grises ont déjà été observées par le passé, en Atlantique. Il a été démontré que ces animaux vivaient en Méditerranée avant le Moyen Age.

Concernant Wally, il est probablement âgé de moins d’un an et rien n’empêche qu’il soit né en Atlantique.

Sauvez Wally, le baleineau gris !

Le 6 Mai dernier, un vétérinaire collaborant avec l’ONG franco-espagnole Sibylline océans, spécialiste de cette espèce, s’est vu refuser l’accès à l’animal, par les agents du Parc Marin du Golfe du Lion, alors qu’une équipe de pompiers et de militaires avaient mis une embarcation à sa disposition. En parallèle, les « spécialistes » n’hésitaient pas à stresser le baleineau, affaibli, pour lui prélever un échantillon dans le but d’une analyse génétique.

La dernière fois que le baleineau a été repéré et que sa position a été rendue publique, c’était il y a une semaine, dans les eaux espagnoles, à hauteur des Baléares. Depuis, pour éviter les dérangements, plus aucune information ne filtre. Si Wally s’échoue sur une plage, décision a été prise, par l’aquarium Oceanografic de Valence, de l’euthanasier, faute de matériel d’hospitalisation. Euthanasier un grand cétacé, c’est lui transpercer le cœur avec un trocart pour lui injecter le produit létal. C’est parfaitement ignoble, qui plus est, sur un animal vigile ! Il existe aussi la possibilité de lui placer des explosifs autour de la tête, méthode employée par l’Afrique du Sud.

Trocart
Trocart

L’Espagne et la France se consultent régulièrement au sujet de Wally, un accord unilatéral n’étant pas, diplomatiquement parlant, correct, au vu des divers traités signés sur la Méditerranée. L’ONG Sibylline océans, forte de son expérience à l’étranger et de son réseau, a proposé son appui dans le cadre d’un partenariat franco-espagnol. A ce jour, à l’interrogation sur l’inaction, les seuls arguments avancés sont économiques et écologiques. En résumé, Wally n’a aucun intérêt !

Le matériel d’intervention et d’hospitalisation existe, les compétences vétérinaires également. Seule la volonté politique manque tout comme celle des officiels payés avec nos impôts et qui gèrent le patrimoine national (la faune sauvage en fait partie) comme bon leur semble, dans leur propre intérêt. A l’heure où l’espèce de Wally est en perdition, où le rôle des cétacés dans la lutte contre le réchauffement climatique a été largement démontrée, il est temps que les citoyens fassent entendre leur voix. Pour cette raison, l’ONG Sibylline océans, en partenariat avec Subway Press, continue de tenter de se faire écouter. Des personnalités nous rejoignent dans ce combat afin que Wally soit enfin considéré et qu’il bénéficie de toute l’attention requise : Yoann Latouche, chroniqueur sur #Canal+, fondateur d’#YLG, Henri-Jean Servat, Conseiller Municipal et délégué à la Protection Animale à la Mairie de Nice.

Pour rappel, le cas de Wally relève du champ de la médecine vétérinaire. Son état de santé est alarmant et il doit impérativement subir tous les examens médicaux nécessaires à l’évaluation de son état afin de corriger une plus que probable déshydratation (et tout ce qui va avec) et de prévenir l’état de choc. En fonction de l’examen clinique, la réalimentation est envisagée. Les idées lues d’attendre qu’il rejoigne l’Atlantique puis le Pacifique sont utopiques, tout comme celui de le transporter vers ces eaux alors qu’avant toute chose, Wally doit être stabilisé.

Un précédent a eu lieu, il y a presque 25 ans, sur les côtes californiennes où un baleineau gris de moins d’une semaine, déshydraté, en hypoglycémie, dans le coma, a été hospitalisé et relâché 14 mois plus tard dans son milieu naturel.

Les dons récoltés servent à la prise en charge médicale de Wally. Il n’y a pas d’intermédiaire entre notre ONG et les fournisseurs. La plate-forme choisie est fonction du coût des frais, calculés au plus juste. Si l’issue était défavorable, les dons serait réaffectés au projet de l’hôpital pour les animaux marins : HFM.

Aucune autre cagnotte n’a été autorisée par Sibylline océans, seule ONG à lutter pour une prise en charge rationnelle de Wally.

Merci pour Wally

***

Au titre de l’article 200 du code des impôts, l’association, d’intérêt général, est autorisée à délivrer des reçus fiscaux. Elle ouvre donc le droit à une déduction d’impôts de 66 % dans la limite de 20 % de votre revenu imposable et dans la limite de 2,25 ‰ du chiffre d’affaires pour les entreprises.
Exemple pour un particulier :
– pour un don de 50 euros, cela vous revient à 17 euros après réduction d’impôts
– pour un don de 100 euros, cela vous revient à 34 euros après réduction d’impôts

Le don minimum est fixé à 3 euros rapport aux cartes bancaires volées.

https://www.lilo.org/sibylline-oceans

Article publié dans https://donorbox.org/sauvez-wally-le-baleineau-gris-salvad-a-wally-el-ballenato-gris-save-wally-the-gray-whale-calf

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